I) Перепишитевыделенный отрывок текста, исправивдопущенные ошибки.
II) В данных предложениях укажите глаголы, которые могут употребляться в активном залоге с дополнением: — Des que l'on m'eut annonce a l'appartement de Chariot, celui-ci s'é cria «Mais, voyons, qu'il monte'» — En grand acteur Chariot sait se jouer de la difficulté — II faut se dé fier de l enthousiasme des foules — II s'empara de la main que lui tendait le Pré sident et la serra longuement — Une telle foule attendait Chariot qu'il y avait de quoi s'enfuir — Bien des gens se passeraient de manger plutô t que de ne pouvoir applaudir un acteur cé lè bre
III) Поставьте глаголы, данные в пассивном залоге в местоименную форму: (Напр La rampe est allumé e enfin — la rampe s'allume enfin) En quelques minutes, la salle est remplie — Voici ce qui est repondu, d ordinaire, en pareil cas — Le tront de Chariot est creusé d'une ride profonde — Quelle piè ce a é té le plus souvent joué e a Pans, cet hiver? — Le sujet de cet opé ra peut ê tre ré sume en quelques mots — Une ambiance cordiale a é té creee aussitô t
IV) Объясните согласование participe passé: Nous nous sommes excuses d ê tre arrivé s en retard — Ils se sont ré cité leur leç on — La piè ce s est joué e devant un public enthousiaste — Les gens s'é taient imaginé qu ils pourraient parler a Chariot — Les femmes se sont bousculé es sans pitié pour voir passer le cé lè bre acteur — Chariot et le Pré sident se sont longuement parlé — La Pré sidente s'est assise auprè s de Charlie Chaplin — Elle ne s'est pas souvenue de mon nom
V) Согласуйте причастия, данные в скобках Les difficulté s se sont (multiplie) — La Pré siente s'est (creusé) la tê te pour trouver un moyen de causer avec Chariot — Peu de gens se seraient (figuré) qu'il obtiendrait un tel succè s — C'est ainsi que la soiré e s est (passé) à la Comé die-Franç aise — Le pré sident et le comé dien se sont (montré) trè s contents l'un de 1 autre — Toutes les femmes se sont (ré pé té) à l'oreille leur admiration pour le comé dien — Quelle personne ne s'est jamais (trompé) dans l'accord des participes'' — Mes amis se sont brusquement (rappelé) qu'ils avaient un rendez-vous à cinq heures
VI) Эссе. Vous avez vu soit des films de Chariot, soit ceux de tel grand artiste de ciné ma. Expliquez pourquoi ces vedettes occupent une place si importante dans l'esprit du public.
Образец плана:
Вступление: Un grand inventeur, un grand mé decin n'occupent pas dans l'admira- tion du public une place comparable à celle des grandes vedettes... Развитие темы:
a. Le public voit les uns; les autres, il ne les connaî t, parfois, mê me pas de nom.
b. Souvent la reconnaissance de la masse ira à ceux qui amusent et distraient plus qu'à ceux qui sont ses bienfaiteurs.
с Elle admire dans les premiers un art qui lui paraî t trè s supé rieur à elle-mê me et pourtant trè s proche de ses ambitions, de ses rê ves. (Chez les jeunes surtout.)
d. Ré elle passion provoqué e par le prestige, le dynamisme, la beauté d'un ê tre qui semble se donner à chacun.
Заключение:...
СЛОВАРЬ
(О театральных nbecaxfpiè ces de thé â tre). Объясните значение выде- ленных слов: Aimez-vous les opé ras? — Non, la musique en est utfpeu trop sé rieuse pour moi, je pré fè re l'opé ra-comique; mais je trouve l'opé retter trop lé gè re. — La tragé die classique exige, peut-ê tre, de meilleurs acteurs que la comé die moderne. — «Le Cid» est qualifié de tragi-comé die parce que la piè ce ne se termine pas tragiquement. — On jouait hier un drame de Victor Hugo. — Moliè re a d'abord joué des farces inspiré es par le thé â tre italien. — Les ballets russes faisaient courir tout Paris en 1912. — Pendant toute une anné e, ce mu- sic-hall a repré senté la mê me revue. — Sacha Guitry a é crit d'excellentes pe- tites piè ces appelé es levers de rideau. — La pantomime fut introduite en France au XVHl-e siè cle. Aujourd'hui on dit: le mime. — Le mimodrame est joué par plusieurs acteurs appelé s aussi mimes (т.).
ТЕКСТ 35
LES RÉ PÉ TITIONS D'«HERNANI» (1830)
Au thé â tre, en gé né ral, le dialogue entre l'acteur et l'auteur a lieu par- dessus la rampe, c'est-à -dire de l'avant-scè ne à l'orchestre; de sorte que pas un mot n'en est perdu pour les trente ou quarante artistes, musiciens, ré gisseurs, comparses, garç ons de thé â tre, allumeurs et pompiers assistant à la ré pé tition.
(...) Les choses se passaient à peu prè s ainsi:
Au milieu de la ré pé tition, Mlle Mars1 s'arrê tait tout à coup.
«Pardon, mon ami, disait-elle à Firmin, à Michelot ou à Joanny, j'ai un mot à dire à l'auteur.»
L'acteur auquel elle s'adressait faisait un signe d'assentiment, et demeurait muet et immobile à sa place.
Mlle Mars s'avanç ait jusque sur la rampe, mettait la main sur ses yeux2 et, quoiqu'elle sû t trè s bien à quel endroit de l'orchestre se trouvait l'auteur, elle faisait semblant de le chercher.
C'é tait sa petite mise en scè ne, à elle.
«Monsieur Hugo? demandait-elle, monsieur Hugo est-il là?
— Me voici, Madame, ré pondait Hugo en se levant.
— Eh! trè s bien! merci... Dites-moi, monsieur Hugo...
— Madame?
— J'ai à dire ce vers-là:
Vous ê tes mon lion superbe et gé né reux!
— Oui, Madame: Hernani vous dit:
Hé las! j'aime pourtant d'une amour bien profonde! * Ne pleure pas... Mourons plutô t! Que n'ai-je un monde, Je te le donnerais! Je suis bien malheureux!
et vous lui ré pondez:
Vous ê tes mon lion superbe et gé né reux!
— Est-ce que vous aimez cela, monsieur Hugo?
— Quoi?
— Vous ê tes mon lion!..
— Je l'ai é crit ainsi. Madame; donc, j'ai cru que c'é tait bien.
— Alors, vous y tenez, à votre lion?
— J'y tiens et je n'y tiens pas. Madame; trouvez-moi quelque chose de mieux, et je mettrai cette autre chose à la place.
— Ce n'est pas à moi à trouver cela: je ne suis pas l'auteur, moi.
— Eh bien, alors. Madame, puisqu'il en est ainsi, laissons tout uniment ce qui est é crit.
— C'est qu'en vé rité, cela me semble si drô le d'appeler M. Firmin mon lion!
— Ah! parce qu'en jouant le rô le de Dofia Sol, vous voulez rester mademoiselle Mars; si vous é tiez vraiment la pupille de Ruy Gomez de Silva, c'est-à -dire une noble Castillane du XVI-e siè cle, vous ne verriez pas dans Hemani monsieur Firmin; vous y verriez un de ces terribles chefs de bande qui faisaient trembler Charles Quint jusque dans sa capitale; alors, vous comprendriez qu'une telle femme peut appeler un tel homme son lion, et cela vous semblerait moins drô le.
— C'est bien! puisque vous tenez à votre lion, n'en parlons plus. Je suis ici pour dire ce qui est é crit; il y a dans le manuscrit: «Mon lion!» je dirai: «Mon lion!» Moi... Mon Dieu! cela m'est bien é gal! — Allons, Firmin!
Vous ê tes mon lion superbe et gé né reux!»
Et la ré pé tition continuait.
Seulement, le lendemain, arrivé e au mê me endroit, Mlle Mars s'arrê - tait comme la veille; comme la veille, elle s'avanç ait sur la rampe; comme la veille, elle mettait la main sur ses yeux; comme la veille, elle faisait semblant de chercher l'auteur.
«Monsieur Hugo, disait-elle de sa voix sè che, Monsieur Hugo est-il là?
— Me voici, Madame, ré pondait Hugo avec sa mê me placidité.
— Ah! tant mieux! Je suis bien aise que vous soyez là.
— Madame, j'avais eu l'honneur de vous pré senter mes hommages avant la ré pé tition.
— C'est vrai... Eh bien, avez-vous ré flé chi?
— A quoi, Madame?
— A ce que je vous ai dit hier.
— Hier, vous m'avez fait l'honneur de me dire beaucoup de choses.
— Oui, vous avez raison... Mais je veux parler de ce fameux hé mistiche.
— Lequel?
— Eh! mon Dieu, vous savez bien lequel!
— Je vous jure que non, Madame; vous me faites tant de bonnes et justes observations, que je confonds les unes avec les autres.
— Je parle de l'hé mistiche du lion....
— Ah! oui: Vous ê tes mon lion! je me rappelle...
— Eh bien, avez-vous trouvé un autre hé mistiche?
— Je vous avoue que je n'en ai pas cherché.
— Vous ne trouvez pas cet hé mistiche dangereux?
— Qu'appelez-vous dangereux?
— J'appelle dangereux ce qui peut ê tre sifflé.
— Je n'ai jamais eu la pré tention de ne pas ê tre sifflé.
— Soit, mais il faut ê tre sifflé le moins possible.
— Vous croyez donc qu'on sifflera l'hé mistiche du lion?
— J'en suis sû re!
— Alors, Madame, c'est que vous ne le direz pas avec votre talent habituel.
— Je le dirai de mon mieux... Cependant je pré fé rerais...
— Quoi?
— Dire autre chose.
— Quoi?
— Autre chose, enfin!
— Quoi?
— Dire — et Mlle Mars avait l'air de chercher le mot, que, depuis trois jours, elle mâ chait entre ses dents — dire, par exemple... heu... heu... heu...
Vous ê tes mon seigneur superbe et gé né reux!
«Est-ce que mon seigneur ne fait pas le vers comme mon lionl
—- Si fait, Madame; seulement, mon lion relè ve le vers, et mon
seigneur l'aplatit. J'aime mieux ê tre sifflé pour un bon vers qu'applaudi
pour un mé chant.
— C'est bien, c'est bien!., ne nous fâ chons pas... On dira votre bon vers sans y rien changer! — Allons, Firmin, mon ami, continuons...
Vous ê tes mon lion superbe et gé né reux!»
Il est bien entendu que, le jour de la premiè re repré sentation, Mlle Mars, au lieu de dire: «Vous ê tes mon lion», dit: «Vous ê tes mon seigneur!» e vers ne fut ni applaudi ni sifflé; il n'en valait plus la peine.
Alexandre Dumas. Mé moires. Примечания:
1. Актриса, сыгравшая главную женскую роль Доньи Соль. 2. Чтобы защитить глаза от света рампы. 3. Высокий стиль (В высоком стиле (так же, как и во множественном числе) слово " amour", как правило, женского рода). 4. В александрийском стихе (александрине) 12 слогов, два полустишия (hé mi- stiches) разделены цезурой (метрической паузой), и в каждом из них по 6 слогов.
ТЕКСТ 36
UN «MOT» D ACTEUR
Mounet-Sully1 é tait un dieu, une sorte de Victor Hugo du peuple, un acteur qui vivait au-dessus des hommes. Arquilliè re pé né tra un jour dans sa loge2 muni d'une recommandation. C'é tait la plus belle minute de sa vie. Il trouva le maî tre en train de se maquiller.
«Comment vous appelez-vous? demanda Mounet-Sully.
— Arquilliè re.
— Arquilliè re!» ré pé ta le grand acteur en continuant de tendre le menton et de lever le cou devant son miroir.
La conversation du gé nie et du dé butant ne fut qu'une suite de silences et de petits mouvements. Le jeune homme souhaitait d'ê tre à dix pieds sous terre. Enfin, comme on ne lui facilitait pas une entré e
en matiè re, il prit le parti de s'é clipser3 discrè tement. Il n'avait pas fait vingt pas qu'il s'entendit brusquement appeler d'une voix de tonnerre:
«Arquilliè re! Arquilliè re!»
Le jeune homme remonta les escaliers quatre à quatre4 et se pré cipita dans la loge qu'il venait de quitter, dé solé d'ê tre parti si vite et sans s'excuser...
«Qui ê tes-vous? demanda Mounet-Sully.
— Je suis Arquilliè re... Vous m'avez appelé...
— Mais non, murmura Mounet-Sully, je me faisais la voix5... Arquilliè re, c'est trè s sonore!»
LÉ ON-PAUL FARGUE. Le Pié ton de Paris
Примечания:
1. Знаменитый актер, игравший в Комеди Франсез. Прославился исполнением ролей в греческих трагедиях (1841-1916). 2. У этого слова ест* несколько значений: а) швейцарская, дворницкая; б) гримерная; в) ложа в театре. — Здесь слово употреблено во втором значении..3. Разг. Скрыться, исчезнуть^. Очень быстро, перескакивая через ступеньки. 5. Я ставил голос (перед выходом на сцену).
ТЕКСТ 37
DÉ BUTS
Toute ma vie je me rappellerai ce jour d'hiver 1931...
J'avais pré paré deux scè nes: une scè ne des Femmes savantes1 et une scè ne de Britannicus2. Mais comme j'ignorais tout des auditions et des ré pliques3 qu'il faut amener avec soi, j'avais appris tous les rô les, celui de Chrysale et de toutes les femmes savantes; celui de Narcisse et aussi celui de Né ron.
Dans son bureau Dullin4 é tait enfoui, l'oeil malin et amusé, dans un petit fauteuil, prè s de la fenê tre, mais invisible de la rue. La lampe é tait allumé e, car le jour commenç ait à tomber. J'avais gardé mes gants à la main, incapable dans mon trac5 d'oser mê me les poser et je me dé plaç ais de tous les cô té s, à droite, à gauche, m'accroupissais en gros lourdaud6 au moment de: «Et hors un gros Plutarque à mettre mes rabats»; me raidissais en pimbê che7: «Le corps avec l'esprit fait figure mon frè re» etc. (...)
Tous les changements de voix, tous les changements d'attitude; je me livrais tout nu...
A la fin de ce «numé ro», Dullin, sans doute sensible à tant de candeur, me fit certainement entre les dents quelques compliments et je compris que je pouvais essayer de faire du thé â tre. Il me demanda:
«Vous ê tes dé cidé à faire du thé â tre?
— Oui, monsieur.
— Vous savez que c'est grave, que vous risquez de crever de faim8?
— Oui, monsieur.
— Vous ê tes prê t à crever de faim?
— Oui, monsieur.
— Et actuellement quels sont vos moyens d'existence, car l'é cole de l'Atelier est, hé las, payante?
— Monsieur, je n'ai aucun moyen d'existence, je suis pion9 à Chaptal10 au pair: j'y suis simplement nourri et logé, mais je n'ai pas d'argent.
— Alors, je vous prendrai gratuitement à l'é cole, mais ne le dites pas... sans cela... alors..,»
Et je vis pour la premiè re fois ce Dullin que je devais tant de fois imiter plus tard: les yeux de martyr, la moue d'enfant boudeur, se balanç ant et prenant la plus petite voix geignarde11, la voix qui voulait se faire la plus pitoyable... ma vie de thé â tre commenç ait... En septembre, Dullin renouvela ses questions graves, concernant la vocation du thé â tre. Questions auxquelles je ré pondis ds plus en plus caté goriquement.
«Eh bien, c'est entendu, tu fais maintenant partie de la troupe. Tu auras 15 francs par jour; apprends pour commencer le domestique de Volponel2. Je ne fais pas de contrat ici, c'est bon pour les commer- ç ants, ta parole et la mienne se suffisent.» De fait, je n'ai jamais signé de contrat avec Charles Dullin.
JEAN-LOUIS BARRAULT. Ré flexions sur le Thé â tre.
Примечания:
1. " Ученые женщины" ', комедия Мольера (1672). 2. " Британик". традегия Расина (1669). 3. Актер, который подает реплики, играет роль собеседника. 4. Знаменитый режиссер и актер, который вместе с другими известными актерами (Жаком Копо, Луи Жуветом, Гастоном Бати, Жоржем Питоефф) способствовал развитию и подъему французского театра в период между двумя мировыми войнами. Он руководил театром " Ателье" на Монмартре. 5. Страх, волнение перед выходом на сцену. 6. Увалень, неуклюжий неповоротливый человек (роль Кризаля в комедии Мольера " Ученые женщины"). 7. Воображала, жеманница, ломака (за неимением партнера, Ж.-Л.Барро сыграл также роль одной из " ученых" женщин Мольера). 8. Разг. Умирать с голода. — Crever (подыхать) говорится в основном о животных. 9. Разг. Классный надзиратель в школе или пансионе. 10. Одно из средних учебных заведений Парижа. 11. Разг. Плаксивый, стонущий. 12. Роль пажа, персонаж одной из комедий английского драматурга и актера Бена Джонсона (1606), адаптированной Жюлем Роменом.
| ТЕКСТ 38
A L'OPÉ RA: PREMIÈ RE DE «PELLÉ AS1»
De la place du Thé â tre-Franç ais on aperç oit l'Opé ra qui ferme majes- tueusement la perspective de l'avenue.
Pellé as apportait en musique une nouvelle forme de beauté, une impression sonore, cré ant autour de l'action un É lé mentaire2 qui é tait aussi une «lé gende», mê lant la tromperie, l'amour, l'eau stagnante et le vent. Maintenant l'œ uvre splendide a vaincu ses dé tracteurs3. Elle domine, majestueuse comme Tristan", d'autre faç on que Tristan, presque au mê me niveau. C'é tait bien sû r\ parbleu! dè s le dé but!
Dans les coulisses, fré missants, rageurs, extasié s, nous entourions Debussy au front bombé, envahi de cheveux noirs, qui soufflait dans son nez et dont les yeux é tincelaient. L'atmosphè re tenait de la bataille et du lancement d'un beau navire: «J'ai envie de mordre», disait une charmante personne à qui nous ré pliquâ mes en chœ ur: «Mais mordez-moi donc!»
Tout à coup nous aperç û mes Santiago Rusinol, le grand dramaturge, romancier et peintre catalan, son chapeau mou sur l'oreille, avec des regards de lama6 irrité, qui s'avanç ait, les bras en avant: «C'est la gloire pour toi, Devussy7! Tu es un bon cochon, Devussy! Ce que tu as fait là, c'est un chef-d'obre8, mon petit»9. Il l'embrassait, nous l'embrassions, nous nous le passions comme un bonbon, et les machinistes, repliant les dé cors, riaient et nous priaient de nous garer.
Quelques jours aprè s, le feuilleton1 admirable de Pierre Lalo, dans Le Temps, mit les choses au point et Pellé as, comme il se devait, au premier rang des trè s grandes œ uvres, des œ uvres dominatrices et qui servent à qualifier et jalonner une é poque.
LÉ ON DAUDET. Paris Vé cu. Примечания:
1 " Пелеас и Мелизанда" — опера Дебюсси (1902). 2. Нечто, сравнимое с одним из элементов мироздания (вода, земля, воздух, огонь) по своей мощи и первозданной простоте 3 Хулители, недоброжелатели. 4. " Тристан и Изольда" ', опера Вагнера (1865). 5 Совершенно верно. 6. Лама. 7 В испанском языке буквы b и v имеют схожее произношение. 8. Персонаж перепутал французское слово " œ uvre", являющееся составной частью сложного слова «chef-d'œ uvre», с испанским словом «obra». 9. Произношение французского " е muet" представляет определенные сложности для испанцев. 10. Критическая статья.
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