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18. À l’occasion de la rentré e, les rè gles d’hygiè ne ont é té expliqué es et distribué es aux é lè ves, mais aussi dans les entreprises, pour limiter la transmission de la grippe A. D’où vient le mot hygiè ne? Du grec «hugieinon»... ce qui «contribue à la santé».

A. quand on tousse ou é ternue

B. qui fait ré fé rence à tout

C. pour é viter que le virus de la grippe ne se propage facilement

D. qui peuvent pré server et amé liorer la santé du corps

E. dont une campagne de vaccination

F. qui se transmettent par voie aé rienne

G. que l’on s’alimente sainement

19. L’hygiè ne regroupe donc l’ensemble des principes et des pratiques... mais é galement de l’esprit.

A. quand on tousse ou é ternue

B. qui fait ré fé rence à tout

C. pour é viter que le virus de la grippe ne se propage facilement

D. qui peuvent pré server et amé liorer la santé du corps

E. dont une campagne de vaccination

F. qui se transmettent par voie aé rienne

G. que l’on s’alimente sainement

20. L’expression «avoir une bonne hygiè ne de vie» signifie... et que l’on prê te attention à sa santé physique et mentale. La vie en collectivité facilite le dé placement des microbes de la grippe 4... – toux, é ternuements, postillons – et par contact physique avec une personne malade, lorsqu’on l’embrasse ou lui serre la main.

A. quand on tousse ou é ternue

B. qui fait ré fé rence à tout

C. pour é viter que le virus de la grippe ne se propage facilement

D. qui peuvent pré server et amé liorer la santé du corps

E. dont une campagne de vaccination

F. qui se transmettent par voie aé rienne

G. que l’on s’alimente sainement

21...., l’Institut national de pré vention et d’é ducation pour la santé (INPES) a é dité quelques rè gles faciles à respecter.

A. quand on tousse ou é ternue

B. qui fait ré fé rence à tout

C. pour é viter que le virus de la grippe ne se propage facilement

D. qui peuvent pré server et amé liorer la santé du corps

E. dont une campagne de vaccination

F. qui se transmettent par voie aé rienne

G. que l’on s’alimente sainement

22. Se couvrir la bouche..., se moucher dans un mouchoir en papier à jeter aprè s chaque usage, se laver les mains plus souvent que d’habitude, se tenir à l’é cart des personnes infecté es, porter un masque si l’on pré sente les premiers symptô mes.

A. quand on tousse ou é ternue

B. qui fait ré fé rence à tout

C. pour é viter que le virus de la grippe ne se propage facilement

D. qui peuvent pré server et amé liorer la santé du corps

E. dont une campagne de vaccination

F. qui se transmettent par voie aé rienne

G. que l’on s’alimente sainement

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Une douzaine d’anné es avait passé depuis que l’on ne m’appelait plus «la Petite Bijou» et je me trouvais à la station de mé tro Châ telet à l’heure de pointe. J’é tais dans la foule qui suivait le couloir sans fin, sur le trottoir roulant. Une femme portait un manteau jaune. La couleur du manteau avait attiré mon attention et je la voyais de dos, sur le tapis roulant. Puis elle marchait le long du couloir où il é tait indiqué «Direction Châ teau-de-Vincennes». Nous é tions maintenant immobiles, serré s les uns contre les autres au milieu de l’escalier, en attendant que le portillon s’ouvre. Elle se tenait à cô té de moi. Alors j’ai vu son visage. La ressemblance de ce visage avec celui de ma mè re é tait si frappante que j’ai pensé que c’é tait elle.

Une photo m’é tait revenue en mé moire, l’une des quelques photos que j’ai gardé es de ma mè re. Son visage est é clairé comme si un projecteur l’avait fait surgir de la nuit. J’ai toujours é prouvé une gê ne devant cette photo. Dans mes rê ves, chaque fois, c’é tait une photo anthropomé trique que quelqu’un me tendait pour que je puisse identifier cette personne. Mais je restais muette. Je ne savais rien d’elle.

Elle s’est assise sur l’un des bancs de la station, à l’é cart des autres qui se serraient au bord du quai en attendant la rame. Il n’y avait pas de place libre sur le banc, à cô té d’elle, et je me tenais debout, en retrait, appuyé e contre un distributeur automatique. La coupe de son manteau avait é té sans doute é lé gante autrefois, et sa couleur vive lui donnait une note de fantaisie. Mais le jaune s’é tait terni et il é tait devenu presque gris. Elle paraissait ignorer tout ce qui l’entourait et je me suis demandé si elle resterait là, sur le banc, jusqu’à l’heure du dernier mé tro. Le mê me profil que celui de ma mè re, le nez si particulier, lé gè rement relevé du bout. Les mê mes yeux clairs. Le mê me front haut. Les cheveux é taient plus courts. Non, elle n’avait pas beaucoup changé. Les cheveux n’é taient plus aussi blonds, mais, aprè s tout, j’ignorais si ma mè re avait é té vraiment blonde. La bouche se contractait dans un pli d’amertume. J’avais la certitude que c’é tait elle.

Sur mon acte de naissance é tait mentionné e la date de sa naissance à elle: 1917, et, à l’é poque des photos, elle pré tendait avoir vingt-cinq ans. Mais, dé jà, elle avait dû tricher sur son â ge et falsifier ses papiers pour se rajeunir. Elle a relevé le col de son manteau comme si elle avait froid dans ce wagon où l’on é tait pourtant les uns contre les autres. J’ai vu que la frange du col é tait complè tement é limé e. Depuis quand portait-elle ce manteau? Depuis l’é poque des photos? Voilà pourquoi le jaune é tait terni. Nous arriverions au bout de la ligne et, là, un bus nous mè nerait jusqu’à une banlieue lointaine. C’é tait à ce moment-là que je l’aborderais. Aprè s la gare de Lyon, il y avait moins de monde dans le wagon. De nouveau, son regard se posait sur moi, mais c’é tait le regard que les voyageurs é changent machinalement entre eux. «Vous souvenez-vous qu’on m’appelait la Petite Bijou? Vous aussi, à l’é poque, vous aviez pris un faux nom. Et mê me un faux pré nom qui é tait Sonia.»

(d’aprè s Patrick MODIANO, La Petite Bijou )

23.... on l’appelait encore «la Petite Bijou».

1) Il y a deux ans 2) Il y a quinze ans 3) Il y a dix ans 4) Il y a un an

24. À la station de mé tro Châ telet

1) il n’avait pas beaucoup de monde

2) il y avait peu de monde

3) il y avait beaucoup de monde

4) il n’y avait personne

25. L’hé roï ne a remarqué une femme

1) раrce qu’elle portrait un manteau

2) parce qu’elle é tait seule

3) parce qu’elle ressemblait à sa mè re

4) parce que la couleur de son manteau é tait jaune

26. L’hé roï ne a gardé

1) peu de photos de sa mè re

2) beaucoup de photos de sa mè re

3) un tas de photos de sa mè re

4) trop de photos de sa mè re

27. À la station l’hé roï ne

1) é tait assise à cô té de la femme

2) se tenait debout au bord du quai

3) se tenait debout au fond du quai

4) se tenait debout en face d’un distributeur automatique

28. L’hé roï ne

1) savait trè s bien quelle é tait la couleur des cheveux de sa mè re

2) savait que sa mè re n’é tait pas blonde

3) savait que sa mè re é tait brune

4) ne savait pas si sa mè re é tait blonde

29. La mè re de l’hé roï ne a falsifié ses papiers

1) pour s’é vader de prison

2) pour paraî tre plus jeune

3) pour s’enfuir

4) pour paraî tre plus â geé

30. L’histoire de Fontenoy-la-Joû te qui compte aujourd’hui quelques 280 habitants, 15 bouquineries et 800 000 livres d’occasion... en pleine campagne, commence au XII^e siè cle.